Entre le nombre d’heures d’enseignement des langues limité et un enseignement trop passif, la peur de l’erreur et une très faible exposition, faire aimer une langue à son enfant relève parfois du parcours du combattant. Pourtant, apprendre une langue à l’âge où le cerveau est le plus réceptif peut ouvrir bien des portes. D’autant plus, qu’un tiers des adultes en entreprise considèrent l’anglais comme un défi majeur dans l’exercice de leur profession. Alors comment susciter l’envie et faire en sorte que les langues ne soient plus une corvée ? On fait le point.
Pourquoi les jeunes ont du mal à apprendre les langues (et pourquoi ce n’est pas une fatalité)
Apprendre une langue étrangère à l’école reste, pour beaucoup d’enfants, synonyme de listes de vocabulaire et de conjugaisons par cœur. L’oral est peu pratiqué, alors que c’est souvent là que le bât blesse. En France, 75 % des élèves de 3e ont du mal à se faire comprendre à l’oral en langue étrangère, selon une évaluation du Cnesco (2019).
Et pourtant, l’envie d’apprendre est bien réelle. D’après l’enquête Eurobaromètre 2023, 86 % des personnes interrogées estiment que tout le monde devrait parler au moins une langue autre que sa langue maternelle, et 65 % des jeunes Européens de 15 à 24 ans préfèrent les contenus sous-titrés aux contenus doublés, signe qu’il y a un vrai intérêt et souhait de s’exposer aux langues dans leur quotidien. Le potentiel est là. Encore faut-il proposer des formats adaptés.
Face à des contenus scolaires souvent déconnectés de leur réalité, les enfants perdent vite l’intérêt. Et les applis ludiques, si elles dépannent un temps, ne remplacent pas une interaction humaine. Le défi : reconnecter l’apprentissage à quelque chose de vivant, engageant et motivant.
Cours particuliers, applis, immersion… que choisir ?
Il existe aujourd’hui une multitude d’outils pour apprendre une langue : applications, chaînes YouTube, podcasts, stages linguistiques, correspondants étrangers…
Mais toutes les méthodes ne se valent pas. Les études en sciences cognitives montrent que l’interaction réelle, le fait de parler avec un humain, favorise un ancrage plus profond et durable des connaissances. Or, peu de solutions permettent à un enfant d’avoir un vrai professeur qui l’écoute, s’adapte à lui, et le fait progresser à son rythme. C’est là qu’interviennent les cours individuels de langues en visioconférence, une solution hybride entre soutien personnalisé et flexibilité numérique.
VivaLing : une méthode sur mesure, à la maison et en direct
C’est exactement ce que propose VivaLing, une plateforme de cours de langue en ligne qui a fait le pari de l’humain associé au digital, au service de l’apprentissage.
Fondée en 2014 par un expat français à Singapour, VivaLing s’adresse aux enfants, ados et même aux adultes, débutants ou confirmés. Sa promesse : des cours personnalisés, 100 % en visioconférence, avec des professeurs natifs ou de niveau natif, formés en pédagogie.
Tout se passe en ligne pour une plus grande flexibilité, mais rien n’est automatisé. Le professeur prépare sa session en fonction des centres d’intérêts et de l’âge de l’élève pour des sessions ultra personnalisées. L’utilisation de matériel ludique et interactif, qui suit le Cadre européen commun de référence pour les langues, permet au professeur de créer un environnement favorable à l’échange, au jeu, aux révisions des points à améliorer tout en travaillant la confiance en soi. Une manière dynamique et efficace de prendre de l’assurance et de l’aisance à l’oral. Les sessions durent de 15 à 55 minutes, selon les besoins et la disponibilité de chacun.
5 langues sont proposées : anglais, espagnol, allemand, français langue étrangère, français langue maternelle, mandarin. Sans engagement, sans abonnement. Idéal pour tester en douceur.
On vous propose de tester avec une remise exclusive de 50 % sur le pack Découverte avec le code promo VLFZEN50, soit 27 € au lieu de 54 €. Offre valable jusqu’au 31/10/2025, nouveaux clients uniquement.
Comment motiver votre enfant, concrètement ?
Un enfant a besoin de sens. Pourquoi apprendre l’anglais, l’espagnol ou l’allemand s’il ne voit jamais à quoi ça sert ? Essayez de raccrocher l’apprentissage à ses centres d’intérêt : un film ou une chanson qu’il aime, une correspondance avec un enfant d’un autre pays, ou encore un projet de voyage à l’étranger.
Le cerveau retient mieux ce qu’il entend et vit que ce qu’il lit. Si votre enfant ne parle jamais, il aura du mal à débloquer l’oral. Les cours de langues pour enfants en face-à-face, même à distance, sont souvent bien plus efficaces que les exercices sur tablette.
Enfin, valorisez les progrès, même petits. Un ado ne vous dira peut-être pas qu’il est fier de lui, mais si vous notez qu’il a mieux compris un film en VO ou utilisé une nouvelle expression, soulignez-le. C’est souvent ce genre de déclic qui lui donne envie de continuer sans avoir à le pousser.
Primaire, collège, lycée : des besoins différents, des approches à adapter
En primaire : tout passe par le jeu
Avant 10 ans, les enfants apprennent par immersion. Ils ont une oreille fine, une grande facilité à imiter les sons. L’important est de ne pas les forcer mais de les exposer à la langue dans un cadre léger : comptines, jeux, dessins animés, histoires…
Au collège : confiance et routine
C’est souvent là que les difficultés apparaissent. L’idée est de réconcilier l’enfant avec les langues étrangères enseignées, qu’il associe parfois à de mauvaises notes ou à un blocage à l’oral. Instaurer un rendez-vous régulier, ludique et valorisant peut tout changer. Un cours hebdomadaire personnalisé, sans pression, sans jugement, peut suffire à le remotiver et à lui redonner confiance.
Au lycée : objectifs et autonomie
Les ados ont besoin d’une raison claire pour s’investir : examen, voyage, projet à l’étranger. L’apprentissage d’une langue étrangère peut devenir plus stratégique, ciblé. L’idéal est de leur laisser de la liberté dans le choix du format et du rythme.
Apprendre une langue peut aussi rimer avec plaisir. L’une des clés pour réussir à (re)motiver votre enfant est de trouver la solution, en dehors de l’école, qui saura éveiller sa curiosité et renforcer sa confiance en lui. Afin qu’il puisse (enfin) se dire : apprendre une langue, c’est pas si nul que ça, en fait.
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